Liste des produits de la marque LES GALETS DU TARN
Nos biscuits sont fabriqués de façon artisanale par nos soins, dans notre établissement de La Malène dans les Gorges du Tarn.
Nous choisissons rigoureusement nos matières premières auprès de fournisseurs locaux, en particulier pour les farines de blé ou de châtaigne.
La production locale de noix et d’amandes fut particulièrement importante mais avec le déclin de l’agriculture en terrasse dans les pentes des Gorges du Tarn, il est aujourd’hui exceptionnel de pouvoir s’approvisionner sur place. Toutefois, nous privilégions la production française en particulier pour les noix et les noisettes.
Les baies de genièvre proviennent des causses où poussent de nombreux genévriers.
Le sucre complet provient de l’agriculture bio ou raisonnée.
Les Galets du Tarn, Biscuiterie de la Malène
Bienvenue à La Malène , au cœur des Gorges du Tarn ! Faites une escale à la Boulangerie Le Fournil Malénais, où Christophe et Myriam vous proposent de déguster les délicieuses gammes de biscuits Les Galets du Tarn, concoctés à base de produits locaux. Le ricochet salé et ses déclinaisons au Roquefort, au Genièvre, à l'Anchois et à la moutarde est idéal pour les apéritifs. Le ricochet sucré et ses différentes saveurs, châtaigne, noix… et aussi notre croquant Le Castagnou accompagneront à merveille les pauses goûters et les cafés gourmands.
La légende des Galets du Tarn
Il y a très longtemps, alors que le pont n’existait pas pour franchir le Tarn à La Malène, les bateliers et leur barques à fond plat, transportaient leur marchandises entre les hameaux ou d’une berge à l’autre.
Un jour, une jolie bergère arriva du Causse Méjean avec son troupeau de brebis pour traverser à gué, mais, la rivière étant trop haute pour cela elle du faire appel aux bateliers du village. Seulement elle n’était pas riche et sans le sous, pas de traversée. Elle avait bien des biscuits dans son cabas, mais qui aurait bien voulu lui traverser son troupeau pour quelques malheureux gâteaux…
Un jeune batelier, sans doute charmé par la jeune fille, accepta le marché et traversa à la force des bras avec sa seule perche de bois pour pousser la grosse barque chargée des malheureuses bêtes. Le travail fut rude et éreintant et quand le soir fut venu, la tache terminée, la jeune bergère ayant payée sa dette quittait le village le long de la draille en allant vers le Nord. Le batelier, lui, sans doute encore troublé par la belle, restait jusqu’à la tombée de la nuit sur le bord de la rivière, à faire des ricochets avec les galets plats qu’il trouvait.
Mais sa poche étant trouée, il perdit les biscuits, et, les confondants avec les galets, il les donna sans le savoir aux nombreuses truites qui frétillaient de plaisir !
Depuis ce jour là, chaque fois qu’il fit des ricochets il ne put s’empêcher de penser à la jolie bergère et à ses sablés dont tout le monde parlait mais qu’il n’avait pu goûter.
Il attendit longtemps le retour de la belle, jusqu’à l’automne, et quand elle revint pour traverser à nouveau, il ne voulu pas d’argent mais seulement des biscuits dont il prit grand soin cette fois. Et c’est comme cela que les biscuits de La Malène sont devenus célèbres dans toute la région. Depuis, le pont a été construit, mais à la belle saison, on voit souvent le soir de jeunes gens faire des ricochets sur le Tarn.